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Ceibo
6 septembre 2008

Au boulot

bon l'année commence bien, la fac me prend vraiment pas mal de temps (plus qu'à Paris : le comble!), du coup rien de bien neuf à venir mettre dans ces pages.
En plus aujourd'hui c'est un samedi frileux. C'est fou comme le temps est changeant ici, il y a quelques jours j'étais en tee shirt à me dire que le printemps arrivait à grands pas, et depuis hier on rallume le chauffage, on ressort les pulls et le parapluie. Mais je pense qu'il faut en faire des réserves avant le grand chaud de l'hiver européen. Le résultat : juste envie d'aller boire des thés en mangeant des gâteaux (je suis tombée amoureuse de la pâtisserie en bas de chez moi) dans un salon de thé du quartier bobo situé juste derrière chez moi... Peut-être pour tout à l'heure!

Et j'en profite pour fournir les albums existants avec mes petites collections d'images d'arbres, de grafitis et de la facfadu.

DSC07706

il est 15:04

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Commentaires
L
Un beau week end s'annonce pour vous! Je me sens tellement loin de cette ambiance des accroches coeurs : odeurs de rentrée, de fin d'été.<br /> Bon pour répondre à tes questions, je crois que je vais écrire quelques notes sur des sujets un peu plus précis : les étudiants, les transports, la nourriture.<br /> Mais en deux mots, les transports ici c'est vraiment quelque chose, et ce qui me surprend encore plus c'est justement la manière dont les gens en parle. Bref je vais essayer d'écrire plus longuement à ce propos dans les jours qui viennent
J
À lire les journaux en France qui parlent des manifestations contre la médiocre qualité des transports publics (wagons mis à feu), je me suis posé la question de tes déplacements urbains. Comment vas-tu à la Fadu ? à pied, en vélo, en bus ? Prends-tu les trains vers les lointaines banlieues ? Sont-ils tant bondés aux heures de pointe ?<br /> Es-tu allée au bar la Cigale dont nous avait parlé Fanfan ?<br /> Ici la ville se transforme en vue du vent de folie qui va souffler sur les accroche-coeurs. Nous irons où le vent nous mènera.<br /> <br /> Bisous, bisous
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